La vie mélancolique de François Léotard
Il y a dans le Monde d'aujourd'hui un très bel article de Raphaëlle Bacqué consacré à François Léotard. J'ai lu il y a quelques mois le dernier livre de Léotard, "La vie mélancolique des méduses" (Grasset), et j'avais déjà été surpris par la dureté et la lassitude du ton du roman. L'article est de la même eau.
"Ce qu'il a aimé de cette vie-là ? "La violence" , dit-il sans hésiter. Ce qu'il méprise aujourd'hui ? Que les autres n'aient pas pris comme lui cette violence au sérieux.".
"Il regarde désormais le pouvoir de loin. Avec la crainte sourde, toutefois, "que l'on m'appelle un matin pour me proposer un dernier hochet. Et que toute cette histoire se termine très banalement par une légion d'honneur" ".
"Ce qu'il a aimé de cette vie-là ? "La violence" , dit-il sans hésiter. Ce qu'il méprise aujourd'hui ? Que les autres n'aient pas pris comme lui cette violence au sérieux.".
"Il regarde désormais le pouvoir de loin. Avec la crainte sourde, toutefois, "que l'on m'appelle un matin pour me proposer un dernier hochet. Et que toute cette histoire se termine très banalement par une légion d'honneur" ".
0 Commentaires:
Enregistrer un commentaire
<< Home